D’OUVILLE (Antoine Le Métel)


D’OUVILLE (Antoine Le Métel) 1589-1656

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Biographie

Frère de François Le Métel de Boisrobert, le sieur d’Ouville fit représenter quelques comédies, moins remarquables par la versification que par l’intrigue, entre autres Les Trahisons d’Abhiran, tragi-comédie jouée avec succès en 1637.
On lui doit les nouvelles amoureuses et exemplaires ; Aymer sans sçavoir qui, comédie ; La Coifeuse à la mode, comédie ; Les Fausses Véritez, comédie ; Les Morts vivants, tragi-comédie ; L’Esprit folet, comédie ; La Fouyne de Séville, ou l’Hameçon des bourses ; L’Absent chez soy ; L’Élite des contes ; Les Contes aux heures perdues ou le Recueil de tous les bons mots, réparties, équivoques du sieur d’Ouville ; Jodelet astrologue, encouragé par le succès de Scarron.
On a également sous son nom des Contes (2 vol. in-12), qui sont tirés en partie du Moyen de parvenir et qu’on a attribués à son frère. Il a aussi traduit de l’espagnol en français.

Œuvres

Théâtre

  • 1637 : Les Trahisons d’Arbiran (Tragi-comédie)
  • 1638 : L’Esprit follet (Comédie)
  • 1642 : L’Absent chez soi (Comédie) 
  • 1643 : Les Fausses Infidélités (Comédie)
  • 1645 : La Dame suivante (Comédie)
  • 1646 : Jodelet astrologue (Comédie) ; Les Morts vivants (Tragi-comédie)
  • 1647 : Aimer sans savoir qui (Comédie) ; La Coiffeuse à la mode (Comédie)
  • 1650 : Les Soupçons sur les apparences (Héroïco-comédie)